Avec huit illustrations en couleurs d’Émilie Teillaud.
Nouvelle édition, complète et définitive, du « très curieux poème polymorphe » (selon l’Encyclopédie Atlas), publié en 1985 par les Éditions Loris Talmart.
Au Petit Théâtre de Hyacinthe le Fou qui constituait alors le poème complet, l’auteur a ajouté une seconde partie : Hyacinthe aux champs, où s’exprime plus ouvertement une connivence avec les antiques divinités de la forêt, des eaux et du ciel étoilé.
Émilie Teillaud, qui voue sa peinture au réenchantement du monde, a composé selon une technique mixte qui lui est propre huit illustrations en couleurs, dans une étroite symbiose avec le texte. Ces illustrations en illuminent certains détails qui persistent au fond de l’œil comme au réveil les restes ensommeillés d’un rêve.
Le Petit Théâtre de Hyacinthe le Fou, suivi de Hyacinthe aux champs
- Éditions Alexipharmaque
- ISBN : 978-2-917-57923-7
- Broché, 140x210, 146 pages
- 24 €
Quelques opinions sur l’édition de 1985 :
Un poème de cristal et d’ombre.
Jean Cayrol
Une affirmation panthéiste et tragique absolument bouleversante.
Magazine Hebdo
À travers la somptuosité du verbe, la nostalgie de cet avant-monde qui est le nôtre.
Georges Mathieu
C’est un théâtre poétique que nous offre Michel Mourlet […] Et surtout ce coffre d’où s’échappent mille et mille trésors.
Jours de France
J’ai pensé plusieurs fois aux odes des poètes grecs.
Gérard Mourgue, directeur des programmes de France Culture
Ce n’est pas si commun, un poème qui signifie, ni une langue qui sache la musique, ni un moderne chez qui les classiques ne sont pas morts.
Jean Grosjean
Les femmes y sont gaies et tragiques et Hyacinthe connaît toutes les chansons pour leur parler et parler d’elles.
Valeurs Actuelles
Un livre-promenade, ce qui est rare, probablement unique par le temps qui court. Il nous promène comme on le promène. Est-il besoin d’ajouter qu’il est merveilleusement écrit ?
André Fraigneau
Un hymne païen et passionné à l’eau, à la lumière, à la femme. À la vie.
L’Écho, Bruxelles
L’éblouissement s’avance jusqu’au bout de ses pointes secrètes. […] N’est-ce pas que c’est beau, cette modernité du classicisme ?
Pol Vandromme
Ce « Petit Théâtre » marque une étape décisive dans la recherche d’une expression poétique dans les tréfonds du subconscient.
La Montagne